Alors que la production mondiale de vêtements a doublé depuis les années 2000, et que les fashion weeks émettent plus de 240 000 tonnes de CO2 chaque année, j’appelle la filière textile à relocaliser la production et à s’engager dans l’économie circulaire.
Une tribune à lire sur le site du journal Le Monde : À l’heure de la sobriété, Paris doit devenir la capitale de la mode durable