Ce week-end j’étais invité par les organisatrices de WHO’S NEXT, le plus grand salon de la mode féminine en Europe, à venir rencontrer les marques écoresponsables.
L’occasion d’échanger avec des créatrices qui défendent une mode engagée pour la planète et pour l’inclusion sociale. J’ai aussi participé au podcast Qu’est-ce que la mode × Hummade, pour parler de notre action à la Ville de Paris pour soutenir cette filière mode/textile durable.
Le 10 décembre dernier, le Syctom, qui est le grand syndicat de traitement des déchets de 85 communes d’Île-de-France, dont la majorité situées dans la métropole du Grand Paris, votait son budget 2022. Ce vote fut évidemment un moment très important puisqu’il détermine les actions du Syctom non seulement pour 2022, mais aussi pour les années qui suivent, étant donné qu’un certain nombre de dépenses, tant en fonctionnement qu’en investissement, conditionnent l’évolution du volume et de la nature des déchets traités à horizon 2025. Voici mon point de vue sur quelques uns des enjeux principaux qui sont devant nous, en cohérence avec les grandes orientations que nous avons défendues en tant que groupe écologiste.
Paris dépense chaque année 3 milliards d’euros en commande publique. Si elle décide d’acheter responsable, ce sont des sommes considérables qui vont bénéficier à des acteurs économiques engagés pour la planète et la justice sociale !
Avec ce schéma de la commande responsable, nous dotons Paris d’une vraie boussole pour tous ses achats.
Mardi 14 décembre, le Conseil de Paris a voté le budget de la Ville pour l’année 2022. Voici un bref décryptage du budget de plus de 12 millions d’euros dédié à ma délégation à l’économie sociale, solidaire et circulaire. Comment ce budget sera-t-il réparti ? Quels projets seront financés?
Magnifique soirée des trophées parisiens de l’économie sociale et solidaire hier soir à l’hôtel de ville ! Une salle comble, de beaux projets récompensés, une table-ronde sur l’entrepreneuriat des femmes très intéressante, et une intervention inspirante de Cécile Duflot, marraine de l’édition 2021.
Encore largement méconnue, l’économie sociale et solidaire répond pourtant massivement aux attentes économiques, sociales et environnementales de la population. Mon point de vue dans le journal La Tribune.
Chaque année, le mois de novembre, c’est le mois de l’économie sociale et solidaire (ESS). Partout en France, de nombreux événements sont organisés pour faire connaître les projets des associations, mutuelles, coopératives, fondations, entreprises sociales et structures d’insertion, qui forment le monde de l’ESS. La loi dite « Hamon » de 2014 a pleinement reconnu à cet écosystème ESS une existence juridique. Depuis la sortie des périodes de confinements et couvre-feux successifs liés à la pandémie de Covid19, les articles et reportages fleurissent sur ces modèles économiques alternatifs incarnant le « monde d’après », plus durable et solidaire.
Mais pour autant, l’ESS reste encore largement méconnue des Françaises et Français. C’est un des constats qui ressort du sondage très intéressant commandé par le French Impact à l’institut Harris Interactive, publié le 9 novembre dernier, et intitulé « Les Français et l’économie sociale et solidaire ». De cette enquête d’opinion, il ressort tout d’abord que les Françaises et Français ont un jugement mitigé sur le modèle économique actuel, où l’ESS demeure minoritaire. Ils ne sont pas vraiment convaincus par la capacité de l’économie d’aujourd’hui à créer des emplois durables, à respecter l’environnement, et à faire diminuer les inégalités sociales. Le concept de « l’économie sociale et solidaire » est, quant à lui, plutôt bien connu des Français, puisque les trois quarts d’entre-eux en ont déjà entendu parler, et lui associent des valeurs positives comme la capacité à créer de la cohésion sociale, de l’emploi durable, et à entreprendre de manière plus vertueuse. Mais seulement un tiers de la population est capable d’expliquer plus précisément et concrètement qui sont les acteurs ESS, et ce qui fait leur spécificité.
Vous êtes un.e entrepreneur.e engagé.e, vous voulez être accompagné.e dans votre activité économique, mais vous êtes perdu.e dans la multitude des aides et des dispositifs de soutien existants ?
La plateforme Pousses est faite pour vous ! Nous avons lancé ce matin à l’hôtel de ville la nouvelle version de cette plateforme, qui a vocation à être un guichet unique numérique qui centralise de nombreux dispositifs d’accompagnement.
Elle est faite pour les entrepreneur.e.s. ESS et à impact social/environnemental sur Paris, et bientôt l’ensemble de l’Île-de-France.
Il y a quelques jours, le scénario négawatt 2022 a été publié. C’est le scénario écologique de référence, qui permet de modéliser à horizon 2050 une trajectoire crédible et ambitieuse de réduction de notre empreinte écologique.
Pour la première fois, ce scénario contient un volet, appelé « négaMat », dédié à la quantité des matériaux utilisés dans nos comportements quotidiens de production et consommation. Acier, ciment, plastique, verre…tous ces matériaux proviennent encore largement de l’extraction de ressources naturelles.
Or, il y a beaucoup trop de gaspillages de matériaux, qui menacent les écosystèmes et génèrent trop d’émissions de gaz à effet de serre. Le scandale écologique du continent plastique en est une des illustrations les plus tristement connues !
L’enjeu est donc de diminuer la quantité de matériaux que nous utilisons, et de faire en sorte qu’une part croissante d’entre eux soient issus du réemploi ou du recyclage.
[Inauguration] La réparation au service de la réinsertion, une dynamique au cœur de l’atelier RépareSeb que j’ai eu l’honneur d’inaugurer cet après-midi à @Paris. Un atelier de (auto)réparation, achats solidaires et location d’équipements électroménagers.